Joutes de l'Aven. Stage de danse et fest-noz samedi 12 novembre
Les Joutes de l'Aven organisent un fest-noz sur plancher au centre culturel demain à 21h, animé par les groupes Tamm Tan et Ar Bleizi Mor. Le même soir, juste avant le fest-noz, l'association propose une heure d'initiation aux danses traditionnelles, de 20h à 21h. Les animateurs seront Carole Lothodé et Louis Gouiffes, accompagnés par un groupe de quatre musiciens. Grand habitué des festoù-noz, le groupe Tamm Tan s'appuie sur un répertoire important de musiques traditionnelles, accompagnées d'arrangements originaux et dynamiques. Utilisant une grande variété d'instruments, bombarde, biniou, accordéon, violon, guitare et percussions, les musiciens s'accordent à merveille dans une belle complicité tout en préservant le caractère breton. Le groupe Ar Bleizi Mor est composé de trois musiciens, André, Johann et Loez, qui possèdent un répertoire varié capable de faire danser toute la nuit. Un accordéon diatonique pour créer une assise, une guitare pour le style et de la broderie exécutée à la bombarde, à la flûte irlandaise, au treujeunn gaol (clarinette bretonne) ou au saxophone, s'accorderont pour mettre de l'ambiance.
Joutes de l'Aven. Succès de l'expo de photos anciennes
Succès de l'expo de photos anciennes;
Le président de l'association des Joutes de l'Aven, Yves Bernard, ne cachait pas sa satisfaction dimanche, au regard de la fréquentation importante de l'exposition: «Un succès incontestable: plus de 400 personnes nous ont rendu visite au cours de la journée».
Il faut dire que les bénévoles n'ont pas ménagé leurs efforts pour collecter les quelque 500 documents exposés: des photos de vie quotidienne datant pour certaines de la fin du XIXesiècle, des clichés de lieux oubliés, des scènes de vie quotidienne, chacun à pouvoir se souvenir de l'évolution du bourg, mais aussi rechercher au fil des ans un proche, un ami ou encore un événement.
Les visiteurs ont été nombreux à parcourir les divers panneaux d'exposition, à la redécouverte de l'histoire de la commune.
lors de l'exposition de photos anciennes qui s'est déroulée dimanche, les riverains ont observé attentivement Germaine Guillou qui maîtrise parfaitement le repassage des cols mais qui reconnaît que ce savoir-faire n'est pas inné. « Ce sont des techniques particulières qui nécessitent plusieurs heures de travail. J'enseigne cet art depuis trois ans mais je ne parviens pas à impliquer des jeunes qui estiment que c'est trop long à réaliser ». Force est de constater que pour obtenir un col parfait, il faut tout de même se donner du mal. « Il y a plusieurs étapes, à commencer par la préparation où l'on applique de l'amidon, badigeonné sur l'envers du col et que l'on laisse reposer » souligne Germaine. Commence ensuite le paillage qui consiste à enfiler des tiges, « des pailles, sortes d'herbes sauvages, appelées guinches » rectifie Germaine. Elles sont préalablement taillées, lavées et séchées. « Pour obtenir un beau plissage de col, on les place en quinconce, une dessus et une dessous » explique notre experte qui se sert d'aiguilles pour réaliser ce geste de précision. Le col est ensuite séché, à l'aide d'un fer à sec électrique, réglé sur soie et les coins relevés des deux côtés, en forme arrondi.
Il faut dire que les bénévoles n'ont pas ménagé leurs efforts pour collecter les quelque 500 documents exposés: des photos de vie quotidienne datant pour certaines de la fin du XIXesiècle, des clichés de lieux oubliés, des scènes de vie quotidienne, chacun à pouvoir se souvenir de l'évolution du bourg, mais aussi rechercher au fil des ans un proche, un ami ou encore un événement.
Les visiteurs ont été nombreux à parcourir les divers panneaux d'exposition, à la redécouverte de l'histoire de la commune.
lors de l'exposition de photos anciennes qui s'est déroulée dimanche, les riverains ont observé attentivement Germaine Guillou qui maîtrise parfaitement le repassage des cols mais qui reconnaît que ce savoir-faire n'est pas inné. « Ce sont des techniques particulières qui nécessitent plusieurs heures de travail. J'enseigne cet art depuis trois ans mais je ne parviens pas à impliquer des jeunes qui estiment que c'est trop long à réaliser ». Force est de constater que pour obtenir un col parfait, il faut tout de même se donner du mal. « Il y a plusieurs étapes, à commencer par la préparation où l'on applique de l'amidon, badigeonné sur l'envers du col et que l'on laisse reposer » souligne Germaine. Commence ensuite le paillage qui consiste à enfiler des tiges, « des pailles, sortes d'herbes sauvages, appelées guinches » rectifie Germaine. Elles sont préalablement taillées, lavées et séchées. « Pour obtenir un beau plissage de col, on les place en quinconce, une dessus et une dessous » explique notre experte qui se sert d'aiguilles pour réaliser ce geste de précision. Le col est ensuite séché, à l'aide d'un fer à sec électrique, réglé sur soie et les coins relevés des deux côtés, en forme arrondi.
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